Or How To Extract "Purified Water" from Waste Water.
The process is called "Fractioned Crystalization."
" Multi Stage Cristalization "
It use at least a big tank, the cristalizer, of at least two hundred of cubic meters, relatively flat tank.
A generator of cold, a big deep freezer, strong enough to cristalize all the water, in say; 5 days.
Then you begin to freeze.
The firts cristalyzed water, is quite pure water.
When nearly all the water is cristalyzed, except the center of the tank, then you can pourr the liquid water with concentrated pollution into an other reactor / cristalyzer.
This is the first stage of extraction, you can begin a new cycle, when you have enough concentrated waste water then you canuse a similar tank to concentrate the pollutant once more and reduce the impact of big stocks.
The radio elements will migrate to the center of the tank pushed by the fraction of pure water becoming ice.
At a time there will be ice
everywhere except on the center of the tank. Provided you have put the
freezing devices on the outmost part of the tank.
After a certain amount of time,
the liquid water is a solution of concentrated radio element. This
concentrated solution is pourred out, and stocked.
Then you begin a new cycle.
« Dans
les bâtiments n°1, 2 et 3, où la radioactivité est telle qu’on ne peut
pas approcher, on ne sait pas quand il sera possible d’extirper les
combustibles usagés des piscines. Les cœurs ont fondu et se sont
affaissés. Désemparés, on projette, pour le moment, l’eau dessus pour
faire en sorte de les refroidir. Cependant, pour le seul réacteur n°1,
le niveau ne monte pas au-delà de 40 cm, parce qu’il y a un énorme trou
par lequel l’eau fuit toujours plus, envahissant même la salle des
turbines. On tente de récupérer cette eau, on essaie d’en extraire le césium et de l’asperger de nouveau.
The Christian League is a French Blog*, due to lack of time i could not maintain this Japanese version, anyway next year i will try (hard) to maintain both French and English version.
Le
monde de la production industrielle d'électricité d'origine nucléaire
arrive à un point d'inflexion possibilité d'aller vers la maturité ou
de bifurquer vers le bricolage. C'est à dire que jusqu'à présent les centrales, même les plus récentes sont en fait des Usines Pilotes.
Il serait bon et rassurant que l'on sorte de l'époque des Pilotes et de l'Artisanat pour entrer dans une époque Industrielle. Justement,
pour que les réacteurs considérés comme à l'arrêt soient
effectivement à l'arrêt au moins pour quarante huit heures, laps de
temps minimum pour intervenir l'or d'une catastrophe. C'est à dire
prévoir l'alimentation de secours, des réservoirs et des groupe de
pompage supplémentaires, cela ne veut pas dire relier ces utilités aux
éléments de la centrale en exploitation "Normale".
Cela
veut dire les posséder en secours, aptes à être mis en place et
utilisés en service normal. Ceci permettant de maintenir en très haute
sécurité les réacteurs, pendant au moins quarante huit heures. Ici il
faut bien comprendre que ces quarante huit heures sont le minimum pour
un accident où on aurait pas réussi à réduire la réaction en chaîne à
son minimum; cas de Tchernobyl.
Dans le cas de Fukushima
il faudrait compter sur quatre vingt seize heures de sécurité,
minimum, l'impact du tsunami induisant des impossibilité de déplacement de
certains moyens, il faut bien quatre jours pour intervenir sur les
installations.
2013, nous apprenons qu' une des piscines contient plus du double des élements pour laquelle cette piscine est prévue. Sortir les éléments en question de cette piscine en transitant par le milieu aérien est un très gros risque. Il faut donc décharger la piscine pour mettre les éléments dans DES PISCINES SÉCURISÉES, pas facile la piscine en question est en l AIR inaccessible aux Humains.
Il faut pourtant remettre tout cela en sécurité, il existe des solutions, d'abord une bonne étude géologique, les plans des bâtiments, le plan des services, Eau, Pompes etc.., des photos haute résolution du chantier. Ensuite, cela coûtera CHER, mais il est possible de faire du travail sur ce chantier, pas par des intervenants humains, mais des machines. Bien sûr pas les machines que nous utilisons sur les chantiers de construction, il faudra modifier et adapter des commandes, aux machines. D'autant que les séismes de Sakhalin peuvent augurer d un triste avenir des centrales de la région Japon, Corèe... Souvent construites sur des failles. Construites comme des unitès PILOTE et manquant GRAVEMENT des SERVICES EN NOMBRE SUFFISANTS, tout cela fait des installations à Haut risques.
Intervenir sur Fukushima pour mettre celle ci en sécurité c'est possible, cher, mais possible. 29 MAI 2013 S. CARVAJAL Management Stratégique Industriel .
En
production l'improbable c'est automatiquement l'évènement qui advient,
mais pas seulement, il peut y avoir cumul des improbables.
Dans le monde de la production Industrielle quand une situation est mauvaise, celle ci peut empirer.
Voila
pourquoi en production il existe des secours, alimentation de secours,
groupe de pompage de secours. Il me sera peut être rétorqué que compte
tenu de la nature du combustible, la multiplication des secours
entraînait la multiplication des risques ...
Argument fallacieux, il
peut exister, il doit exister, surtout ; compte tenu des risques; des
secours supplémentaires, il n'est pas utile que ceux ci soient
effectivement reliés à l'exploitation. Il faut et il suffit qu'il soit
possible d'utiliser très vite ces secours supplémentaires.
Le
monde de la production industrielle d'électricité d'origine nucléaire
arrive à un point d'inflexion, possibilité d'aller vers la maturité ou de
bifurquer vers le bricolage.
C'est à dire que jusqu'à présent les centrales, même les plus récentes sont en fait des "Usines Pilotes".
Il serait bon et rassurant que l'on sorte de l'époque des "Pilotes" et de l' "Artisanat" pour entrer dans une époque "Industrielle".
Justement,
pour que les réacteurs considérés comme à l'arrêt soient effectivement à
l'arrêt au moins pour quarante huit heures, laps de temps minimum pour
intervenir l'or d'une catastrophe. C'est à dire prévoir l'alimentation
de secours, des réservoirs et des groupe de pompage supplémentaires,
cela ne veut pas dire relier ces utilités aux éléments de la centrale en
exploitation "Normale".
Cela veut dire les posséder en secours,
aptes à être mis en place et utilisés en service normal.
Ceci permettant
de maintenir en très haute sécurité les réacteurs, pendant au moins
quarante huit heures. Ici il faut bien comprendre que ces quarante huit
heures sont le minimum pour un accident où on aurait pas réussi à
réduire la réaction en chaîne à son minimum; cas de Tchernobyl.
Dans
le cas de Fukushima il faudrait compter sur quatre vingt seize heures
de sécurité, l'impact du tsunami induisant des impossibilité de
déplacement de certains moyens, il faut bien quatre jours pour
intervenir sur les installations.
Donc un groupe supplémentaire
de sécurité situé en amont de la centrale, avec dénivelé et la centrale
située au moins trente mètres au dessus du niveau moyen de la mer ou de
l'océan. Cela pénalise le rendement du réacteur, mais quel est le prix
de la sécurité ?
Prospective.
Il faudra bien arriver à un
autre dessin des réacteurs, ne serait ce que par respect de la logique
qu'on s'imposera : quarante huit heures en sécurité avant de voir
apparaître des problèmes de radiolyse, décomposition de l'eau en ses gaz
constitutifs et jusqu'à quatre jours en cas de concomitance de
cataclysmes.
Finalement, les moyens humains et robotiques
d'intervention doivent être repensés et adaptés. Penser à deux ou trois
groupes d'intervention avec experts, robots et matériel lourds, pour
une planète qui compte déjà plusieurs centaines de réacteurs... Cela ne
serait pas inutile.
Le nucléaire civile ne doit pas devenir pire que les conséquences d'une guerre.
En quelques mots sortir du bricolage pour entrer dans l’ère Industrielle.