The Christian League is a French Blog*, due to lack of time i could not maintain this Japanese version, anyway next year i will try (hard) to maintain both French and English version.
Le
monde de la production industrielle d'électricité d'origine nucléaire
arrive à un point d'inflexion possibilité d'aller vers la maturité ou
de bifurquer vers le bricolage. C'est à dire que jusqu'à présent les centrales, même les plus récentes sont en fait des Usines Pilotes.
Il serait bon et rassurant que l'on sorte de l'époque des Pilotes et de l'Artisanat pour entrer dans une époque Industrielle. Justement,
pour que les réacteurs considérés comme à l'arrêt soient
effectivement à l'arrêt au moins pour quarante huit heures, laps de
temps minimum pour intervenir l'or d'une catastrophe. C'est à dire
prévoir l'alimentation de secours, des réservoirs et des groupe de
pompage supplémentaires, cela ne veut pas dire relier ces utilités aux
éléments de la centrale en exploitation "Normale".
Cela
veut dire les posséder en secours, aptes à être mis en place et
utilisés en service normal. Ceci permettant de maintenir en très haute
sécurité les réacteurs, pendant au moins quarante huit heures. Ici il
faut bien comprendre que ces quarante huit heures sont le minimum pour
un accident où on aurait pas réussi à réduire la réaction en chaîne à
son minimum; cas de Tchernobyl.
Dans le cas de Fukushima
il faudrait compter sur quatre vingt seize heures de sécurité,
minimum, l'impact du tsunami induisant des impossibilité de déplacement de
certains moyens, il faut bien quatre jours pour intervenir sur les
installations.
2013, nous apprenons qu' une des piscines contient plus du double des élements pour laquelle cette piscine est prévue. Sortir les éléments en question de cette piscine en transitant par le milieu aérien est un très gros risque. Il faut donc décharger la piscine pour mettre les éléments dans DES PISCINES SÉCURISÉES, pas facile la piscine en question est en l AIR inaccessible aux Humains.
Il faut pourtant remettre tout cela en sécurité, il existe des solutions, d'abord une bonne étude géologique, les plans des bâtiments, le plan des services, Eau, Pompes etc.., des photos haute résolution du chantier. Ensuite, cela coûtera CHER, mais il est possible de faire du travail sur ce chantier, pas par des intervenants humains, mais des machines. Bien sûr pas les machines que nous utilisons sur les chantiers de construction, il faudra modifier et adapter des commandes, aux machines. D'autant que les séismes de Sakhalin peuvent augurer d un triste avenir des centrales de la région Japon, Corèe... Souvent construites sur des failles. Construites comme des unitès PILOTE et manquant GRAVEMENT des SERVICES EN NOMBRE SUFFISANTS, tout cela fait des installations à Haut risques.
Intervenir sur Fukushima pour mettre celle ci en sécurité c'est possible, cher, mais possible. 29 MAI 2013 S. CARVAJAL Management Stratégique Industriel .
En
production l'improbable c'est automatiquement l'évènement qui advient,
mais pas seulement, il peut y avoir cumul des improbables.
Dans le monde de la production Industrielle quand une situation est mauvaise, celle ci peut empirer.
Voila
pourquoi en production il existe des secours, alimentation de secours,
groupe de pompage de secours. Il me sera peut être rétorqué que compte
tenu de la nature du combustible, la multiplication des secours
entraînait la multiplication des risques ...
Argument fallacieux, il
peut exister, il doit exister, surtout ; compte tenu des risques; des
secours supplémentaires, il n'est pas utile que ceux ci soient
effectivement reliés à l'exploitation. Il faut et il suffit qu'il soit
possible d'utiliser très vite ces secours supplémentaires.
Le
monde de la production industrielle d'électricité d'origine nucléaire
arrive à un point d'inflexion, possibilité d'aller vers la maturité ou de
bifurquer vers le bricolage.
C'est à dire que jusqu'à présent les centrales, même les plus récentes sont en fait des "Usines Pilotes".
Il serait bon et rassurant que l'on sorte de l'époque des "Pilotes" et de l' "Artisanat" pour entrer dans une époque "Industrielle".
Justement,
pour que les réacteurs considérés comme à l'arrêt soient effectivement à
l'arrêt au moins pour quarante huit heures, laps de temps minimum pour
intervenir l'or d'une catastrophe. C'est à dire prévoir l'alimentation
de secours, des réservoirs et des groupe de pompage supplémentaires,
cela ne veut pas dire relier ces utilités aux éléments de la centrale en
exploitation "Normale".
Cela veut dire les posséder en secours,
aptes à être mis en place et utilisés en service normal.
Ceci permettant
de maintenir en très haute sécurité les réacteurs, pendant au moins
quarante huit heures. Ici il faut bien comprendre que ces quarante huit
heures sont le minimum pour un accident où on aurait pas réussi à
réduire la réaction en chaîne à son minimum; cas de Tchernobyl.
Dans
le cas de Fukushima il faudrait compter sur quatre vingt seize heures
de sécurité, l'impact du tsunami induisant des impossibilité de
déplacement de certains moyens, il faut bien quatre jours pour
intervenir sur les installations.
Donc un groupe supplémentaire
de sécurité situé en amont de la centrale, avec dénivelé et la centrale
située au moins trente mètres au dessus du niveau moyen de la mer ou de
l'océan. Cela pénalise le rendement du réacteur, mais quel est le prix
de la sécurité ?
Prospective.
Il faudra bien arriver à un
autre dessin des réacteurs, ne serait ce que par respect de la logique
qu'on s'imposera : quarante huit heures en sécurité avant de voir
apparaître des problèmes de radiolyse, décomposition de l'eau en ses gaz
constitutifs et jusqu'à quatre jours en cas de concomitance de
cataclysmes.
Finalement, les moyens humains et robotiques
d'intervention doivent être repensés et adaptés. Penser à deux ou trois
groupes d'intervention avec experts, robots et matériel lourds, pour
une planète qui compte déjà plusieurs centaines de réacteurs... Cela ne
serait pas inutile.
Le nucléaire civile ne doit pas devenir pire que les conséquences d'une guerre.
En quelques mots sortir du bricolage pour entrer dans l’ère Industrielle.
Le monde de la production industrielle d'électricité d'origine nucléaire arrive à un point d'inflexion possibilité d'aller vers la maturité ou de bifurquer vers le bricolage. C'est à dire que jusqu'à présent les centrales, même les plus récentes sont en fait des Usines Pilotes. Il serait bon et rassurant que l'on sorte de l'époque des Pilotes et de l'Artisanat pour entrer dans une époque Industrielle. Justement, pour que les réacteurs considérés comme à l'arrêt soient effectivement à l'arrêt au moins pour quarante huit heures, laps de temps minimum pour intervenir l'or d'une catastrophe. C'est à dire prévoir l'alimentation de secours, des réservoirs et des groupe de pompage supplémentaires, cela ne veut pas dire relier ces utilités aux éléments de la centrale en exploitation "Normale". Cela veut dire les posséder en secours, aptes à être mis en place et utilisés en service normal. Ceci permettant de maintenir en très haute sécurité les réacteurs, pendant au moins quarante huit heures. Ici il faut bien comprendre que ces quarante huit heures sont le minimum pour un accident où on aurait pas réussi à réduire la réaction en chaîne à son minimum; cas de Tchernobyle. Dans le cas de Fukushima il faudrait compter sur quatre vingt seize heures de sécurité, l'impact du tsunami induisant des impossibilité de déplacement de certains moyens, il faut bien quatre jours pour intervenir sur les installations.
En production l'improbable c'est automatiquement l'évènement qui advient, mais pas seulement, il peut y avoir cumul des improbables.
Dans le monde de la production Industrielle quand une situation est mauvaise, celle ci peut empirer. Voila pourquoi en production il existe des secours, alimentation de secours, groupe de pompage de secours. Il me sera peut être rétorqué que compte tenu de la nature du combustible, la multiplication des secours entraînait la multiplication des risques ... Argument fallacieux, il peut exister, il doit exister, surtout ; compte tenu des risques; des secours supplémentaires, il n'est pas utile que ceux ci soient effectivement reliés à l'exploitation. Il faut et il suffit qu'il soit possible d'utiliser très vite ces secours supplémentaires.
Le monde de la production industrielle d'électricité d'origine nucléaire arrive à un point d'inflexion possibilité d'aller vers la maturité ou de bifurquer vers le bricolage. C'est à dire que jusqu'à présent les centrales, même les plus récentes sont en fait des Usines Pilotes. Il serait bon et rassurant que l'on sorte de l'époque des Pilotes et de l'Artisanat pour entrer dans une époque Industrielle. Justement, pour que les réacteurs considérés comme à l'arrêt soient effectivement à l'arrêt au moins pour quarante huit heures, laps de temps minimum pour intervenir l'or d'une catastrophe. C'est à dire prévoir l'alimentation de secours, des réservoirs et des groupe de pompage supplémentaires, cela ne veut pas dire relier ces utilités aux éléments de la centrale en exploitation "Normale". Cela veut dire les posséder en secours, aptes à être mis en place et utilisés en service normal. Ceci permettant de maintenir en très haute sécurité les réacteurs, pendant au moins quarante huit heures. Ici il faut bien comprendre que ces quarante huit heures sont le minimum pour un accident où on aurait pas réussi à réduire la réaction en chaîne à son minimum; cas de Tchernobyle. Dans le cas de Fukushima il faudrait compter sur quatre vingt seize heures de sécurité, l'impact du tsunami induisant des impossibilité de déplacement de certains moyens, il faut bien quatre jours pour intervenir sur les installations.
Donc un groupe supplémentaire de sécurité situé en amont de la centrale, avec dénivelé et la centrale située au moins trente mètres au dessus du niveau moyen de la mer ou de l'océan. Cela pénalise le rendement du réacteur, mais quel est le prix de la sécurité ?
Prospective. Il faudra bien arriver à un autre dessin des réacteurs, ne serait ce que par respect de la logique qu'on s'imposera : quarante huit heures en sécurité avant de voir apparaître des problèmes de radiolyse, décomposition de l'eau en ses gaz constitutifs et jusqu'à quatre jours en cas de concomitance de cataclysmes. Finalement, les moyens humains et robotiques d'intervention doivent être repensés et adaptés. Penser à deux ou trois groupes d'intervention avec experts , robots et matériel lourds, pour une planète qui compte déjà plusieurs centaines de réacteurs... Cela ne serait pas inutile. Le nucléaire civile ne doit pas devenir pire que les conséquences d'une guerre.
En quelques mots sortir de l'Artisanat pour entrer dans l'Industriel.
Some more in other pages ....
PLEASE DO NOT CONSIDER TRANSLATING THESE ARTICLE IN ENGLISH ....* May be someone can translate these but FROM FRENCH INTO JAPANESE. **
* Actual ENGLISH is MAINLY a subset of FRENCH OLD LANGUAGE ( circa 1066 ) When "FRENCH VIKINGS" named NORDMEN (from NORMANDIE french division) took the country and established schools, monasteries and so on...
**Why use one time "old BASIC" when you can use "VISUAL BASIC " with tools ?
S. CARVAJAL Management Stratégique et Innovations. Expert en procédés industriels.
In a radiative world, like inside a Nuclear reactor, how does appears, in physical terms, the "discrimination", the criteria that make the difference which is known in no ionizing area ?
Inside a nuclear reactor, having known problems, like in FUKUSHIMA, how long last the difference between :
C13, N14, O15 ?
Answer : It depends of the nature of the radiations and the quantity of each radiations, then quickly N14 will be changed in something ELSE, even something not stated here.
Warning : C13 react like C12 and can burn like C12 even in absence of O16, if there are traces of O15 !
Nitrogene is said "Inactive" in non ionizing areas, but Nitrogene form complexes molécules and raction like, with side chains when in contact with "Oxygene" and smal radiative rays, like Ultra - violet rays of the atmosphere. One, such utra - violet ray, can manage three reactions; one main reacton and two side chain reactions. Nitrogen Oxyd Complexes reaction.
Nitrogene, not really a NEUTRAL GAZ to put inside a nuclear reactor.
It is time to think ahead OUR SECURITY and build Industrial Nuclear Plants, while shutting "Pilote like" plants like : EVERY and EACH nuclear plants in process or being built !
Would you live quietly in a forest which is continually burning ?
FUKUSHIMA NUCLEAR PLANT THREATS AND FUTURES OPERATIONS TO BUILD A TOUGH NUCLEAR INDUSTRY.
0000How to seize water contaminated 0000water containing nuclear wastes ?
0000Do not pourr concrete into reactor or add a lot of Boron inside !
0000Pourr Portland Concrete Powder, and Boron into irradiated water or into diluted irradiated water.
0000Some of the concrete (+Boron traces) can be used to make small hollow blocks of 100 Litres (French measure a little less than 25 Gallons) of volume which will receive the irradiated concrete.
0000These Concrete blocks containing irradiated concrete would be stocked away.
0000Water containing irradiated nuclei can then be pumped and pourred away, using concrete pumps (synthetic (latex like) membrane pump) to create compacted trash or build a new pier.
How to rethink : - pumping stations, - electric station, - build up reservoirs, - stock nuclear waste away, - how to have a " four days Security latence Delay" in case of war or extrem seisme, - how to change the pattern of the reactor - and some more to come. Actual Nuclear plants are Craftman's tools "Pilot Plants" NO INDUSTRIAL TOOLS. If you need security change to industry real trusted standards.